pippa + Peu importe ce qu’on pourra vous dire, les mots et les idées peuvent changer le monde.
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❝ Pippa Harper-Wyatt
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Sujet: pippa + Peu importe ce qu’on pourra vous dire, les mots et les idées peuvent changer le monde. Sam 14 Juin - 10:33
Pippa Harper Wyatt
Peu importe ce qu’on pourra vous dire, les mots et les idées peuvent changer le monde.
ÂGE + trente-huit ans. DATE & LIEU DE NAISSANCE + 14 avril 1976 à Londres. ORIGINES + anglaise. EMPLOI + chirurgienne obstétrique. ORIENTATION SEXUELLE + hétérosexuelle. STATUT CIVIL + en procédure de divorce, en couple. TRAITS DE CARACTÈRE + travailleuse, peu sur d'elle dans le privé, gentille, intransigeante, froide au première abords, douce, à l'écoute, curieuse, posée, discrète, souriante, gourmande. GROUPE + 40 ans mode d'emploi.
Pour cocher la réponse que vous souhaitez il suffit d'enlever le "un" dans le mot "unchecked"
Pour toi avoir 30 ans c'est : la meilleure chose qui te sois arrivée. un véritable enfer. tu t'en fiches, c'est encore loin. déjà passé et ça ne t'as pas changé grand chose.
Ton avenir tu l'imagines plutôt : pleins d'amis, des fêtes sans arrêt et aucune contrainte. un mari, des enfants, une maison. une belle carrière et rien d'autres. tu n'en sais rien du tout encore, tu vis au jour le jour.
En soirée, est-ce qu'il t'es déjà arrivé de mentir sur ton âge pour draguer ? A chaque fois, à mon âge c'est difficile de faire autrement. Jamais, la personne doit m'accepter comme je suis. Quelques fois, simplement pour rigoler. Je n'en vois pas vraiment l'intérêt.
Quand un(e) ami(e) vient pleurer dans tes bras suite à une séparation, quelle est ta réaction ? Tu tentes de le/la rassurer du mieux que tu peux et tu le/la consoles. Tu fais l'effort de le/la consoler, mais tu attends avec impatience de pouvoir faire autre chose. Tu l'entraînes directement en soirée, se soûler c'est la meilleure solution. Tu t'en contrefiches, la/le laisse parler et change rapidement de sujet.
T'es plutôt quel genre de dragueur/dragueuse ? Le gros lourd qui sort les vieilles phrases de dragues pourries. Le mec/la fille sûr(e) de lui/elle qui croit que tout le monde est à ses pieds. Le/la grand(e) timide qui parle dans sa barbe et perd ses mots une fois devant sa proie. Tu ne dragues jamais.
Avoir des enfants c'est : La pire chose qui puisse t'arriver. Ton rêve depuis de longues années. Pas très urgent, tu n'y penses pas pour le moment. Déjà fait ou en cours.
TICS ET MANIES + Je suis une fanatique inconditionnelle de sac à main j'en ai une très grande collection + Je suis née avec une soeur jumelle, mais elle est morte à ma naissance, je n'en ai pour autant jamais souffert + Je suis en instance de divorce depuis deux ans, mais mon mari fait tout ce qu'il peut pour ralentir la procédure + Je suis en couple depuis près d'un an avec un jeune homme de douze ans mon cadet, j'ai du mal à assumer la différence d'âge, mais je suis très amoureuse de ce jeune homme.+ Je pratique le dessin et le piano depuis l'âge de six ans j'adore ça et je continue de dessiner dès que j'en ai l'occasion ou le temps + Je n'aime pas trop faire la fête, mais si je peux me lâcher de temps à autre, je privilégie les soirées entre amis autour d'un bon verre de vin. + Je ne démarre jamais une journée sans une grande tasse de café, voir deux ou trois, et des tartines de pains avec du beurre salé. + Je souris en permanence, une séquelle de mon éducation Harper + Je porte toujours le nom de mon mari, pour mes enfants, mais j'ai toujours conservé mon nom de jeune fille. + Je suis sujette aux crises d'hypoglycémie c'est pour cela que je conserve toujours du sucre et une bouteille d'eau dans mon sac à main. + J'ai récemment parlé de mon petit ami à mon entourage après un an de cachoterie, je commence doucement à assumer son jeune âge.
PSEUDO/PRÉNOM + chloé/queen b. AGE + vingt ans. FRÉQUENCE DE CONNEXION + quotidienne. SCÉNARIO OU PI + personnage inventé. OÙ AVEZ-VOUS CONNU LE FORUM + j'ai un dc (jonah). DERNIER MOT + je vous aime ! .
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Dernière édition par Pippa Harper-Wyatt le Dim 15 Juin - 15:01, édité 2 fois
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Sujet: Re: pippa + Peu importe ce qu’on pourra vous dire, les mots et les idées peuvent changer le monde. Sam 14 Juin - 10:33
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Mademoiselle Pippa Harper consentez-vous à prendre pour époux légitime monsieur Aaron Wyatt ici présent ? Je prends une profonde inspiration, je suis devant tous nos amis, nos familles. Je suis âgé de vingt-sept ans, j'ai peur mais je sais. J’ai connu Aaron à l’université de Londres. Ma ville natale, j’y suis née, j’y ai grandis et je n’aurais jamais quitté cette ville que je chérie tant pour une autre raison que l’amour. J’étudiais la médecine et je faisais mon interna quand mon regard croisa celui d’Aaron. Il était beau, doux, drôle et brillant. Il n’était pas anglais et avait ce petit accent bizarre qui différencie si bien les anglais des américains, mais il avait eu envie de voir autre chose et de découvrir l’Europe tout en réalisant ses études de médecine. En réalité, ses parents avaient divorcés et sa mère s’était remariée avec un anglais. On est rapidement tombé amoureux, on a emménagé ensemble et au bout de deux ans il me demanda en mariage. Nous étions donc dans une chapelle proche de Marylebone, mon quartier de toujours en plein cœur de Londres. Nous avons vécu beaucoup de choses. Et notamment une passion comme peu de gens en vivent. On se complétait parfaitement et je savais qu’un jour il deviendrait mon mari et le père de mes enfants. J’avais choisis la voie de l’obstétrique et lui la cardiologie. Même si nos métiers nous prenaient beaucoup de temps, nous avons toujours mis un point d’honneur à préserver notre relation. Aaron a cette façon bien à lui d’être rassurant et à chaque fois que j’ai eu un doute au cours de mon internat puis de ma résidence il a toujours su me rassurer. Il est brillant et même si sa carrière est importante pour lui, il n’hésite pas à se mettre en retrait pour laisser sa compagne briller aux yeux du chef. Il a toujours voulu avoir des enfants, tout en ayant une femme active, hors de question pour lui que sa femme ne soit une femme d’intérieur ce qui m’allait très bien. Issue d’une famille de la bourgeoisie anglaise, il n’était pas concevable que je n’excelle pas dans mes études et que je ne fasse pas un métier prestigieux, habituée aux endroits chics et ou les bonnes manières sont de rigueurs, je me devais de trouver un bon partis, plus qu’un bon mari et j’avais tout cela en la personne de Aaron. Il me rassurait en un regard. Je plongeais donc mon regard dans le sien et je me sentie immédiatement apaisée comme toujours. Je souris légèrement, presque fébrilement. Oui, je le veux. Dis-je finalement, et un large sourire s’étira sur le visage de mon futur mari. Quelques semaines après le mariage je découvrais que j’étais enceinte, je commençais à peine à mon poste de titulaire et cette nouvelle m’angoissa profondément. Mais Aaron comme toujours avais les mots il savait pour moi, pour nous. On décida de déménager dans la foulée, je savais que mon mari souhaitait retourner dans sa ville natale, Myrtle Beach. Mon mari s’était brouillé avec sa mère et souhaitait vivre auprès de son père qui se faisait vieux et qui était malheureusement malade. Mes parents, dont je suis très proche m’on tout de même soutenu même si je décidais de partir à l’autre bout du monde, m’enfermer dans une petite ville de province. Ils ont depuis pris l’habitude de venir me voir trois fois par an et je fais de même. Mon petit frère et ma grande sœur aussi me rendent visite dès que possible. J’ai eu les jumeaux en juin de l’année 2004. Déjà qu’un enfant me faisait peur, je vous laisse imaginer ma réaction quand j’ai su que j’attendais deux petits garçons. Mais je ne regrette rien, car ces petits bouts d’amour m’on appris à aimer une seconde fois, tout comme leur père avant eux. J’ai commencé à travailler à l’hôpital de la région trois ans après la naissance des jumeaux. J’ai profité de ces trois années pour m’habituer à cette ville, me faire des amis et surtout m’occuper de mes garçons. Au début, ce nouvel emploi me faisait un peu peur, mon mari connaissait tout le monde, alors que moi j’étais la petite nouvelle alors que j’avais déjà passé trente ans. Mais tout le monde se montrait sympathique et accueillant et je trouvais mon équilibre bien plus rapidement que je ne l’avais imaginé. Les enfants, grandissaient bien, ma relation avec Aaron était au beau fixe, rien ne pouvait entacher mon bonheur, car tout allait bien dans le meilleur des mondes. Mais c’était sans compter les aléas de la vie. Il y a trois ans j’ai été mise en concurrence avec un autre médecin pour être à la tête du service obstétrique. J’ai vu cela comme une superbe opportunité pour ma carrière et je me suis lancé dans cette aventure. Je rentrais un peu plus tard à la maison, j’avais souvent la tête ailleurs. Finalement je décrochais cette promotion, me permettant plus de liberté dans mon travail, un meilleur salaire, des horaires plus flexibles, une meilleure place de parking. Bref, que des avantages, mais cette course à la promotion avait duré dix long mois. Mon dieu, Aaron. Je venais de rentrer dans une salle de repos de l’hôpital après une intervention qui avait duré plusieurs heures, finalement j’avais réussi à sauver la patiente, mais la petite fille était encore sous haute surveillance, elle n’était pas totalement sortie d’affaire. J’avais donc besoin de me retrouver seule quelques minutes, pour me passer un coup d’eau sur le visage et souffler un peu, peut-être même m’allonger quelques minutes, histoire de récupérer un peu. Aaron était complètement nu, une des infirmières à califourchon sur lui, vêtue d’un simple soutien-gorge en dentelle rose pétasse. Pippa ce n’est pas ce que tu crois. Pardon ? Explique-moi ça ? C’est une nouvelle façon d’ausculter ses patientes ? Bonnie me regarda, visiblement mal à l’aise. Pippa … Toi tu la ferme pétasse. Et oui, on ne mange pas dans mes plats et on ne marche pas sur mes plates bandes. Bonnie se rhabilla et je la virais rapidement de la chambre pour me retrouver face à mon mari, l'air visiblement encore ravie d'avoir passé du bon temps avec Bonnie. Met un truc dessus, elle me dit bonjour. Il regarda son entrejambe et enfila rapidement son caleçon et son bas. Ce soir, je partirais avec les jumeaux et ne cherche pas à nous retenir. Je commençais donc le reste de ma nouvelle vie. J’avais acheté une maison sur la jeté dans le centre ville. Les enfants passaient une semaine chez moi et une semaine chez Aaron. Depuis notre séparation il y a deux ans, c’est ainsi et quand le divorce sera prononcé je souhaite garder ce fonctionnement là car je ne souhaite pas priver mes enfants de leur père ou Aaron de ses enfants. Nos rapports sont très tendus depuis, il est resté plusieurs mois avec Bonnie, alors que moi j’étais au fond du sceau. La trahison, je ne l’ai pas bien vécu du tout et puis, je perdais totalement confiance en moi, je me sentais seule et malheureuse. Il me manquait terriblement, alors que lui en un claquement de doigt il avait réussit à refaire sa vie. Ils se sont rapidement séparés et Aaron a décidé de me reconquérir, mais je savais que jamais je n’arriverais à passer l’éponge. Il fait trainer notre divorce en longueur depuis et le fait de travailler ensemble n’a rien arrangé. Il y a dix-huit mois, j’ai donc pris la décision d’ouvrir une clinique privée dans le centre ville avec des amis médecins, afin de ne plus le croiser tous les jours, tout comme Bonnie, qui comme moi avait été malmené par Aaron. Lui, à très mal pris mon départ et tente tout et n’importe quoi pour qu’on se retrouve ensemble et pour que je lui retombe dans les bras. Nous sommes restés en contact pour les enfants, mais honnêtement il me fait plus suer qu’autre chose, car moi j’aimerais fermer le chapitre de notre vie conjugale. Il y a donc dix-huit mois, j’ai décidé d’ouvrir ma propre clinique privée en ville, car je ne pouvais plus partir de cette ville dont j’étais sous le charme et pour les jumeaux. J’engageais un cabinet d’avocat pour m’aider dans mes démarches et c’est un avocat de grand nom que mes parents m’avaient conseillés qui s’occupa de mon cas. Pendant six mois nous étions dans les papiers, les procédures, le financement, bref la paperasse. A un mois de l’ouverture de la clinique j’allais comme chaque jour dans les locaux. Ca commençait vraiment à ressembler à quelque chose. La décoration était de bon gout et raffiné, j’avais eu l’aide d’une amie décoratrice et nous étions fin prêt à ouvrir, nous n’attendions plus que l’aval de l’inspecteur du travail. La clochette de l’ascenseur tinta et je sortis pour rejoindre mon bureau. AAAAAHHHHH bordel vous êtes qui vous ? Mon cœur manqua un battement, à vrai dire j’ai frôlé la crise cardiaque ou de panique au choix. Un gamin se tenait dans le hall de la clinique. Il portait un costume gris anthracite sur mesure et de bon gout mais, je ne le remarquais pas tout de suite. Vous êtes un squatteur c’est ça ? Une expression de dégout s’afficha sur mon visage. Quoi ? heu non, désolé je vous ai fait peur c’est ça ? Il s’avança vers moi et je reculais d’un pas attrapant un parapluie qui se trouvait là. Ne bougez pas. Non mais calmez-vous vous ête tarée ou quoi. Je m’appelle Julian Anderson, je suis avocat chez Anderson & Associates. J’éclatais de rire. Non je connais Julian Anderson, vous avez trente ans de moins. Mes parents connaissaient personnellement cet avocat qui n’était pas du tout spécialisé dans tout ce qui était administratif, mais bien plus dans le pénal, mais pour l’ouverture de ma clinique, il avait accepté de faire une exception afin de me rendre service, je connaissais donc parfaitement Julian. Je m’appelle Julian Junior Anderson, c’est mon père, il m’a demandé de passer pour vous faire signer les papiers. Il sortit quelque chose de sa poche et je plissais les yeux. Il était vraiment temps que je m’achète une paire de lunette. J’avançais prudemment perché sur mes Manolo de dix centimètres et attrapa le petit carton. C’était sa carte de visite. Je me pinçais les lèvres. Je suis désolée. Un mois plus tard la clinique ouvrait et Julian (Junior) était à mes côtés. Le dernier mois fut difficile et stressant et c’est naturellement que j’organisais une petite fête pour célébrer l’inauguration de la clinique, invitant Julian père et fils à se joindre à nous. Après la petit fête je débarrassais et Julian (Junior) resta un peu pour m’aider. Je voulais te, je peux te tutoyer ? Je voulais te proposer d’aller boire un dernier verre. Il m’adressa un sourire irrésistible. C’est gentil, mais ce ne serait pas raisonnable, j’ai mes enfants ce soir. Alors demain, ou après demain, quand tu veux enfaite. Je pris une profonde inspiration. Ce n’est pas une bonne idée. Quoi que tu es en tête. Il s’avança vers moi et déposa sa main sur la mienne. Il posa la seconde sur ma joue pour encadrer mon visage et déposa un baiser sur mes lèvres. Je me ressaisis. Julian, ce n’est pas du tout une bonne idée, je ne suis pas intéressée. Il me retint par la main. Pourquoi ? Donne moi une bonne raison. Parce que j’ai dix ans de plus que toi et que je suis. Je marquai un temps, cherchant le mot le plus approprié pour répondre, mais rien ne venait. Vieille. Lâchais-je finalement. Il éclata de rire. Tu es loin d’être vieille, crois-moi. Il hocha la tête comme pour appuyer ses propos. Tu es sexy. Genre vraiment sexy. Je me mise à rire aussi. Julian, bonne soirée. Je rentrais sagement chez moi, les idées chamboulées. Au bout d’acharnement, j’acceptais finalement un rendez-vous avec Julian. Un verre pour commencer, et puis un diner. Au bout de cinq sorties, je me sentais un peu plus à l’aise à chaque fois, même si j’appréhendais le moment fatidique ou 1 : il faudrait que je couche avec lui et qu’il se rendrait compte que nue je n’ai rien de sexy et que 2 : il partirait en courant et me laisserait en plan toute seule et malheureuse. Mais ce soir-là, c’était le grand-soir. J’avais sortis le grand jeu, lingerie sexy, abdos fessiers intensif depuis plus d’une semaine, maquillage à gogo et avec un peu de chance la lumière de la chambre serait tamisée. Mais rien de ce que je n’avais prévu ne se produisit. La lumière de sa chambre était forte, pas moyen d’avoir un entre deux, c’était soit trop, soit on y voyait rien. Il m’embrassa, me procurant des sensations éteintes depuis plusieurs années (l’accouchement peut-être ?!), il me déshabilla lentement, je me laissais faire et il fit de même et j’ai bien cru que j’allais décédée en voyant ses tablettes de chocolats et ce corps de rêve de jeune premier. C’est la première fois. Il me sourit. Je sais. Ca se passa comme ça devait se passer, malgré mon appréhension, après tout j'avais couché avec le même homme pendant plus de dix ans. Non enfaite c’était merveilleux, mais je vais vous passer les détails. Et ce n’était que le début, d’une merveilleuse histoire d’amour. Un mec qui me donnait le sentiment d’avoir vingt ans à nouveau. Avec lui tout n’est que rire, joie et simplicité. J’ai du retard. J’avais le regard vide, le teint blanc. Il me regarda droit dans les yeux et une larme roula le long de sa joue. Ca va panique pas. Non mais je suis simplement heureux. Je ne me suis jamais imaginé père, mais avec toi, je suis me sens prêt. Non mais il n’en a pas question, je ne veux pas d’enfant et je ne pensais pas que tu en voulais toi. Je n’en veux pas, mais avec toi ça ne me dérange pas, ça me rendrait même heureux. Moi j’étais totalement braqué à cette idée et puis, je me suis dis pourquoi pas ? Mais une semaine plus tard j’avais mes règles. Il ne m’a trop rien dit, je sais qu’il n’était pas prêt et qu’un enfant n’est pas dans ses projets, ce qui m'arrange bien. On s’est caché pendant presqu’un an et depuis quelques temps on commence à dire qu’on est ensemble. Je m’assume enfin, à trente-huit ans, amoureuse d’un homme de vingt-huit ans.
Dernière édition par Pippa Harper-Wyatt le Dim 15 Juin - 16:02, édité 11 fois
❝ Jordan Rowe-Gordon
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Sujet: Re: pippa + Peu importe ce qu’on pourra vous dire, les mots et les idées peuvent changer le monde. Sam 14 Juin - 10:36
Bienvenue, toi ! J'adore ton avatar. Bon courage pour ta fiche !
❝ Pippa Harper-Wyatt
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Sujet: Re: pippa + Peu importe ce qu’on pourra vous dire, les mots et les idées peuvent changer le monde. Sam 14 Juin - 10:44
Merci ma jolie
❝ Invité
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Sujet: Re: pippa + Peu importe ce qu’on pourra vous dire, les mots et les idées peuvent changer le monde. Sam 14 Juin - 11:27
Rachel + le pseudo Re- Bienvenue par ici
Dernière édition par Harlow Ainsworth le Sam 14 Juin - 15:54, édité 1 fois
❝ Jonah Wheeler
La souffrance peut occuper une telle place qu’on en oublie le bonheur. Parce qu’on ne se rappelle pas avoir été heureux. Et puis, un jour, on ressent quelque chose d’autre, ça nous fait bizarre, seulement parce qu’on n’a pas l’habitude, et à ce moment précis, on se rend compte qu’on est heureux.
Il n’y a aucune honte à avoir peur, on a tous peur de quelque chose. Le secret, c’est d’identifier exactement d’où elle vient, parce qu’une fois que t’as mis un visage dessus, là tu peux lutter, tu peux vaincre tes peurs et même les apprivoiser et en faire des forces.
Sujet: Re: pippa + Peu importe ce qu’on pourra vous dire, les mots et les idées peuvent changer le monde. Sam 14 Juin - 15:04
merci
❝ Clare Rhodes
Tired little laughs, gold-lie promises, we'll always win at this.
If it had been easy for Romeo to get to Juliet, nobody would have cared. Same goes for Cyrano and Don Quixote and Gatsby and their respective paramours. What captures the imagination is watching men throw themselves at a brick wall over and over again, and wondering if this is the time that they won't be able to get back at each other.
› statut civil : Elle a deux hommes dans sa vie Ben & Jerry's. Sérieusement, elle est célibataire officiellement, mais elle fréquente un homme marié et elle se pose aussi des questions sur ses sentiments pour son meilleure ami....
› métier : Gérante d'une agence de rencontre en ville : Love(dot)match
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Sujet: Re: pippa + Peu importe ce qu’on pourra vous dire, les mots et les idées peuvent changer le monde. Dim 15 Juin - 15:07
Rebienvenue
❝ Pippa Harper-Wyatt
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Sujet: Re: pippa + Peu importe ce qu’on pourra vous dire, les mots et les idées peuvent changer le monde. Dim 15 Juin - 15:13
merci
❝ Invité
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Sujet: Re: pippa + Peu importe ce qu’on pourra vous dire, les mots et les idées peuvent changer le monde. Dim 15 Juin - 15:27
Comment te dire que ton nouveau personnage assure graaave !!! Rachel + le pseudo + l'histoire que du love (re)bienvenue
❝ Pippa Harper-Wyatt
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Sujet: Re: pippa + Peu importe ce qu’on pourra vous dire, les mots et les idées peuvent changer le monde. Dim 15 Juin - 15:34
Attends j'ai pas fini l'histoire ahaha ! Mais merci, moi je suis toujours en admiration devant Jessica !
❝ Abigail T. Rosenberg
Et finalement... cette question... le mystère... Qui raconte l’histoire de qui... Qui lève le rideau... Qui nous rend fou... Nous cingle de coups de fouet et nous acclame dans la victoire quand nous survivons à l’impossible... Qui fait tout cela... Qui fait en sorte que notre existence honore les autres... Et en même temps nous chante que nous ne mourrons jamais... Qui nous apprend ce qui est vérité, ce qui est mensonge... Qui décide pourquoi l’on vit et quel combat mérite que l’on risque la mort...
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Sujet: Re: pippa + Peu importe ce qu’on pourra vous dire, les mots et les idées peuvent changer le monde. Dim 15 Juin - 15:37
Bienvenue ^^ J'adore ton avatar
❝ Kathleen Rhodes
J'ai lu quelque part qu'on ne reconnaissait pas les instants marquant de nos vies au moment où on est entrain de les vivre. On s'habitue à tout, les choses, les idées, les gens mais on ne se rend compte de notre chance parfois. C'est seulement lorsqu'on risque de perdre quelque chose qu'on se rend compte à quel point on y tient, à quel point on en a besoin, à quel point on l'aime.
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Sujet: Re: pippa + Peu importe ce qu’on pourra vous dire, les mots et les idées peuvent changer le monde. Lun 16 Juin - 5:40
❝ Millicent Rhodes
You've gotta dance like there's nobody watching, Love like you'll never be hurt, Sing like there's nobody listening, And live like it's heaven on earth.
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Sujet: Re: pippa + Peu importe ce qu’on pourra vous dire, les mots et les idées peuvent changer le monde. Lun 16 Juin - 5:43
REBIENVENUE et excellent choix
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Sujet: Re: pippa + Peu importe ce qu’on pourra vous dire, les mots et les idées peuvent changer le monde. Lun 16 Juin - 12:57
Re-Bienvenue !
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Sujet: Re: pippa + Peu importe ce qu’on pourra vous dire, les mots et les idées peuvent changer le monde.
pippa + Peu importe ce qu’on pourra vous dire, les mots et les idées peuvent changer le monde.